Les protestations contre le Président Bachar al-Assad, comme celui de Palmyre vendredi, ont été continue malgré la répression du gouvernementLa violence se poursuit en Syrie, comme la date limite fixée par les approches de la Ligue arabe pour le gouvernement de mettre fin à sa répression contre les manifestants.
Une source diplomatique syrienne dit que Damas aurait accepter des observateurs pour surveiller la mise en œuvre d'un accord de paix, mais avec des conditions.
La Ligue arabe a formellement suspendu Syrie le mercredi.
Pendant ce temps, le Secrétaire britannique des affaires étrangères a annoncé qu'il rencontrerait des membres de l'opposition syrienne.
William Hague rencontrera les membres du Conseil National syrien (SNC) et le Comité National de coordination pour le changement démocratique à Londres le lundi, dit de son bureau.
« Plus petite délégation »Au moins 11 personnes meurt lors d'affrontements vendredi, activistes, a déclaré, au milieu de croissance des craintes de la guerre civile.
La Ligue affirme que Syrie affrontera les sanctions à moins qu'il arrête sa répression sanglante des manifestations antigouvernementales.
Une source diplomatique syrienne a dit à la BBC vendredi que Damas avait informé de la Ligue de son offre pour permettre des moniteurs en et que quelques détails ont cours d'élaboration.
Toutefois, des rapports indiquent que Damas a dit qu'elle acceptera une délégation de 40 observateurs - un nombre beaucoup plus petit que les 500 initialement proposé par la Ligue.
La BBC Jim Muir, au Liban voisin, affirme que l'opposition est extrêmement sceptique, estimant que le gouvernement joue juste à temps.
Mais les autorités syriennes sont également confrontés à un dilemme, notre correspondant dit : si elles permettent la situation à être stabilisé avec des observateurs et retirer leurs troupes, ils pourraient voir des grandes parties du pays ne relevant pas de leur contrôle.
Le plan de la Ligue arabe, élaboré de plus tôt ce mois-ci, appelle la Syrie à retirer des réservoirs de villes rétifs, cesser ses attaques contre les manifestants et engager un dialogue avec l'opposition dans les deux semaines.
Président syrien Bachar al-Assad a accepté le plan à l'époque, mais n'a pas pour l'instant à mettre en œuvre.
Correspondants dire l'invitation pour les fonctionnaires de la Ligue à visiter la Syrie est une importante concession par Damas.
La Syrie est consciente que la suspension de la Libye de la Ligue arabe ont aidé à persuader le Conseil de sécurité des Nations Unies d'autoriser l'action militaire qui a contribué à renverser le colonel Mouammar Kadhafi.
« Retenue et prudence »Vendredi, le premier ministre russe Vladimir Poutine exigeaient une retenue au-dessus de la Syrie, après une rencontre avec le premier ministre français François Fillon.
« Nous demandons que la retenue et la prudence. C'est notre position, M. Poutine a dit à une conférence de presse de Moscou, Agence de presse AFP.
Décision de la Haye de Monsieur de rencontrer des membres de l'opposition vient au milieu de la pression sur Damas de montage.
Les États-Unis et la Turquie ont prévenu que la situation pourrait dégénérer en une guerre civile. Roi Abdallah de Jordanie a exhorté M. Assad de se retirer.
Mais le Secrétaire d'État américaine, Hillary Clinton, a déclaré qu'elle ne s'attendait pas qu'il existe une intervention internationale comme en Libye.
Quelque 400 personnes ont été tuées depuis l'annonce de l'initiative de la Ligue arabe le 2 novembre, les militants en Syrie, a déclaré.
L'ONU dit au moins 3 500 personnes sont décédées depuis les troubles en mars, tandis que beaucoup d'autres ont disparu ou emprisonné.
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