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Livre dépeint les tensions entre la première Dame, aides


WASHINGTON (AP) — Première Dame Michelle Obama est une coulisse force dans la maison blanche dont les opinions sur la politique et la politique lui a attiré en conflit avec les conseillers présidentiels et qui sensilles à certaines exigences et contraintes de la vie de la femme du Président, conformément à un compte rendu détaillé de leur premier couple.

Journaliste du New York Times Jodi Kantor, dans un livre à paraître mardi, dépeint une maison blanche où les tensions développées entre Mme Obama et ancien Chef d'état-major de la Maison Blanche Rahm Emanuel et ancien Secrétaire de presse et conseiller présidentiel Robert Gibbs.

L'Associated Press a obtenu une copie du livre, « The chanté, » vendredi soir et le Times a affiché une adaptation de 3 300-mot sur son site Web qui est apparu pour capturer ses comptes plus révélatrices. Le livre est basé sur des entrevues avec 30 collaborateurs actuels et anciens, bien que Le président Barack Obama et la première dame a refusé d'être interviewé pour le livre.

Le livre dépeint Mme Obama comme ayant franchi une évolution de la lutte pour l'accomplissement dans son rôle à la maison blanche, mais tout en une « force non reconnue » dans la poursuite des objectifs du président.

Elle est perçue publiquement comme le visage convivial et populaire du côté plus doux de la maison blanche, celle de lecture pour les enfants de l'école ou de promouvoir l'exercice comme moyen de réduire l'obésité de l'enfant.

Selon à Kantor, au début de 2010 comme programme de soins de santé du président semblait risque de s'effondrer, Mme Obama fait savoir qu'elle a été contrariée par comment la maison blanche s'occupait de la stratégie. Après que les médias ont indiqué Qu'emanuel était malheureuse poursuivant la refonte de la santé, Emanuel a proposé de démissionner, Kantor écrit. Le Président a décliné l'offre.

Par ce printemps, cependant, Kantor écrit que Mme Obama « faite il est clair qu'elle croyait que son mari avait besoin d'une nouvelle équipe, conformément à ses aides. »

Parmi les anecdotes plus provocateurs du livre, Kantor raconte une scène dans laquelle Gibbs, frustrés après bourrage dans une crise potentielle de relations publiques impliquant la première Dame, a explosé lorsque le conseiller présidentiel Valerie Jarrett lui la première Dame s'inquiétait de la réponse de la maison blanche pour le rabat. L'agitation initiale avait été sur une remarque alléguée par Michelle Obama de français première Dame Carla Bruni-Sarkozy qui, vivant à la maison blanche a été « enfer ».

Gibbs maudit la première Dame, qui était absente. Kantor écrit que Gibbs dit plus tard sa colère était mal placée et qu'il a accusé Jarrett pour la création de la confrontation. Kantor écrit que Jarrett semble avoir été trop rapide avec ses critiques de Gibbs et que les deux aides à plus tard la première dame dit que Jarrett s'exprime.

La maison blanche a eu une réaction froide le livre, il appelle une « over-dramatization de vieilles nouvelles » et en soulignant que le premier couple n'a pas parlé à l'auteur, qui a interviewé dernière pour une pièce magazine en 2009.

« Les émotions, les pensées et les moments privés décrits dans le livre, bien que souvent apparemment attribuée au président et la première Dame, reflètent peu plus que les pensées de l'auteur, » porte-parole de la maison blanche, a déclaré Eric Schultz. « Ces comptes usagés sont staples de chaque administration dans l'histoire politique moderne et souvent exagéraient. »

Livre, dans un tableau d'anecdotes reconstituées, dépeint un premier couple souhaitant souvent qu'ils pourraient échapper à la vie de maison blanche confinement plus librement ; un président qui parfois, obtient profondément frustré par la manière dont la presse couvre les lui ; et un ancien chef d'état-major, Emanuel, ce qui laisse lâche avec des explosions profanes sur les membres du personnel. Tous ces thèmes ont été présentés sous une forme dans d'autres publications.

Un incident a rappelé que Jarrett a utilisé un téléphone à bord d'Air Force One à appeler un journaliste du New York Times. Le journaliste poursuivait une histoire sur comment l'aile de Obama Ouest fut essentiellement club d'un big boys' et Jarrett a appeler de prétendre que la prémisse d'une opération dominée par les hommes a été exagérée. Le livre dit même si Jarrett était celui de l'appel, il était Obama lui-même qui gérait la réponse à histoire de la fois avant même qu'il est sorti par « personnellement à dicter des points de discussion pour les assistants qui parleraient à la journaliste ».

Dans un autre, ce livre décrit comment Obama, après avoir obtenu un siège au Sénat des États-Unis et d'écrire un best-seller, « The Audacity of Hope, » autoprotection recherchée et protection des renseignements personnels comme il est de termes avec sa nouvelle gloire. Certains membres du personnel est venu avec un mot pour décrire la fois lorsque le sénateur n'a pas pu se connecter avec des gens: « Barackward », une combinaison de « Barack » et « maladroite ».

Mais malgré le refoulement de la maison blanche pour le livre, Kantor comprend également de nombreux portraits positives de chanté comme parents engagés et un couple de pouvoir sur la terre qui n'ont pas perdu leur point de vue.

Autres révélations dans le livre :

— Mme Obama usée initialement sur la vie à la maison blanche et pendant une courte période avant l'inauguration avait même cuit séjournant à Chicago en 2009 au moins jusqu'à ce que les deux filles de Obama terminé leur session de l'école.

— Pendant la lutte pour passer de la réforme des soins de santé, Obama a été commis à s'attaquer au problème massif de la hausse des dépenses de santé malgré le prix politique. « Michelle et moi sommes parfaitement à l'aise si nous sommes seulement ici un terme si nous avons l'impression de nous vraiment accompli quelque chose, » le livre cite le président comme disant aides.

— Malgré ses réticences en 2010 pour la campagne lors des élections de mi-mandat, le livre a dit que Mme Obama maintenant n'a aucun scrupule environ de 2012. « Michelle jouait il sécuritaire, stockant un capital politique, et maintenant elle voulait passer tous sur la campagne de réélection de son mari. »

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Associe les écrivains de presse Ben Feller et Ken Thomas ont contribué à ce rapport.



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